une première partie qui délivre du bon gros blues rock
hélas
le niveau sonore est à nouveau poussé au point
que de nombreux spectateurs préfèrent rester en dehors de la salle
la $ale aux boules quies
de fâcheuse mémoire
on se rappelle la fois où ces petits cons d'Oasis avaient fait la 1ère partie de Neil Young
et même en dehors de la salle
c'était insupportable
mais bon ça fera bien des sonotones à vendre dans quelque temps
si ce n'est déjà fait
bon niveau sonore pour le concert de Neil Young & Crazy Horse
les savants de la tournée Rust Never Sleeps reprennent du service
Day in a life par les Beatles en intro
Marseillaise
Neil la main sur le coeur
et c'est (enfin) parti
et des morceaux de premier choix
puisant dans l'excellent Ragged Glory
Rust Never Sleeps
et le dernier Psychedelic Pill
2 chansons à la guitare acoustique
Heart of Gold
hommage à Dylan avec Blowin in the wind
pendant que Neil se met à l'orgue
une demoiselle parcourt innocemment la scène
avec un étui à violon
mais repart ...
laissant Neil délivrer la rage d'être encore jeune
des déluges sonores cataclysmiques
produisant une musique contemporaine
qu'un Pierre Boulez n'aura pas réussi à créer
Rockin in the Free World en rappel
Neil Young et ses comparses du Crazy Horse
semblent tellement s'amuser sur scène
avec une qualité sans pareil
on se serait bien fait un Cortez ou un Hurricane en rab
peut-être à Nîmes
2h10 en comptant les intros
smell the Horse on these ones
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire