à voir Chris Rea sur scène
on sent manifestement qu'il y prend du plaisir
s'amuser avec sa guitare comme d'une mitraillette
et si tous les militaires du monde entier
avaient une guitare à la place d'un fusil
et si les militaires n'avaient pas d'arme
ils ne feraient pas long feu
des images viennent rappeler les fureurs du monde
Chris Rea et c'est assez inédit
choisit de terminer son concert par deux clips
les vrombissements de la compétition
la dolce vita douce heureuse un rien sifflée
rugissement du rock sans rappel
le blues musique des laissés pour compte
mal cadrée dans une dolce vita rose bonbon
il est bien fini
le temps où le public battait encore et encore le rappel
la lumière suffit à atteindre la résignation
un concert sympathique et réjouissant
où Chris Rea déploie son blues transversal assez personnel
entre riffs à la Jeff Beck
son à la Mark Knopfler
dans les 1ers albums
Chris Rea semblait se chercher du côté de Chris de Burgh
il s'agissait peut-être d'une histoire de maisons de disque
voire de producteur
au final Chris Rea déroule un concert plutôt singulier
avec cette petite envie d'y revenir
45' des 1h40 environ du concert 1h45 avec les clips
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