les albums Paris Blue et Metropolitain offrent de belles promesses
Kyle Eastwood semble avec les albums suivants
avoir poursuivi un louable effort de fusions transgenres
mais qui accompagné de requins de studios
sans véritable personnalité
finissent par donner le goût d'un Easy Listening qui aurait trop de production
et pas assez de coeur
Kyle joue dans le Bois à l'Est de Paris
la musique ne respire jamais autant qu'en concert
accompagné de Ernesto Simpson
sympathique batteur qui sait se faire discret
et redonner du tonus de l'élan au quintet
Andrew McCormack au piano parfois impressioniste
une touche de délicatesse
avec laquelle Kyle Eastwood dialogue souvent
la section de cuivre tenue par les Jazz Brothers
Quentin Collins trompette – Graeme Blevins saxophone
solides sidesmen qui ont épousé cette mode des Men in Black
quelle est la diffé rance entre des Requins de studio et des Truands de la finance
aucune
la muse (hic) croque mort
Kyle Eastwood montre l'étendue de son registre
et il est large comme une promesse
d'un artiste qui ne va jamais cesser de chercher
à travers la musique sénégalaise la musique de film
le jazz que l'on prend plaisir à siffler
l'avant garde intimiste
la plupart des morceaux ont duré autour de 12 minutes
longue plage qui permet aux musiciens de développer solos
mais aussi de dialoguer
avec un Kyle Eastwood très souriant
comme le chantait Robert Palmer
Some Guys have all the luck
Kyle Eastwood semble être de ces destins
qui ne se sont pas contentés de rester dans un berceau doré
et rencontrent toute l'étendue qui est autour
et au delà
bonne chance
qui ne se sont pas contentés de rester dans un berceau doré
et rencontrent toute l'étendue qui est autour
et au delà
bonne chance
et à très vite à l'Est Bois
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